mardi, 15 février 2011
A LA CLARINETTE
Pays de l'ultime oxymore
La dureté vaut bien
Les affres de la douceur
Passe donc rue du pashmina
Dans les barbelés en caresses
Qui frôlent tes paupières
Au hasard des avenues
Qui jouent aux dés
Le temps se mire
En génuflexions de hanches
13:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
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