mardi, 15 février 2011
FOURRE AUX EPICES
Les vieux regardent toujours
Un hier idéal à leurs yeux fatigués
Par la chute lancinante des murs
Fonte des névés du plastique
Hors-champ le sourire luit
Dans l'écriture qui pisse le sang
Des haches à la main
Des lances dans les yeux
On invente le marteau
Pour détruire les idoles
Et laisser la mer chanter
La déréliction et la renaissance
12:16 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
cette article est formidale ! je cherche depuis quelque temps sur une chose pareille ! merci beaucoup
Écrit par : the free ads | vendredi, 01 juillet 2011
Les commentaires sont fermés.