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dimanche, 03 mars 2013

UN TAXI POUR PARIS

J'écoute les flèches
Lire le temps qu'il fait
Au milieu des regrets
Que jamais je n'aurai

Pas de malheur hors de l'eau
Sur laquelle les espadons
Accrochent leurs proies béantes
Comme des offrandes au pilori

Au loin surfent les dauphins
Un sourire au poignet
Armées de sabres une seule lame
Le tranchant vif du katana

Commentaires

Ou bien :

???

Lire le temps qu'il fait
Au sein de l'espérance
Que je nourris toujours

???

Je crois entendre vos "maux" versifiés...

Toutefois, nos mots semblent [...?...] déclinés sur les versants opposés de la montagne... qui face Nord... qui face Sud...

N'est-ce pas ainsi que le parti-pris de jeu poétique se manifeste ?

A chaque révolution correspond soit une évolution, soit une involution...

A chacun son "plant" de vie vivante...

Écrit par : La meunière | jeudi, 14 mars 2013

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