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dimanche, 07 mai 2006

TOMBE PAR TERRE

Celui dont la quête consiste en un destin ou une destination est déjà un propriétaire virtuel, il me souvient Personne disant "tu auras ton nom dans les livres d'histoire!"; les livres d'histoire, quelle rigolade!! Alors même qu'il n'est personne capable de te dire ce qu'est le temps! Parti d'un rien de lumière pour retourner à un nulle part de lumière, pourquoi donc s'égarer en terre de ténèbres? Tu ne sais rien mais tu es tout, quelle importance toutes ces étiquettes vaseuses dont on peut t'affubler, sois la splendeur des miséreux, personne ne peut égaler ce qui brille dans les yeux quand tous les voiles sont tombés, tu lis dans les formes terreuses et tu vois les desseins noirs qui rougissent sous le feu des lasers de la conscience! Tombe les voiles et tous les regards torves se baissent, aucun ne soutient cela, ils fuient se réfugier dans leurs châteaux de poussière pour se parer d'ornements divers; de l'or qui fond, de l'argent qui brûle, des valeurs qu'on pourrait appeler guenilles car elles ne font que masquer l'avanie, ces valeurs de la bonne conscience engraissée par les pillages, ces valeurs de la moralité de pacotille des proxénètes de la raison; amènez-moi ces justes avec leurs valeurs de misère sorties du casino de cette oligarchie qui se prétend république, amenez-moi ces laïcs et ces clercs qui prétendent être des parangons de bravoure!
Voltaire, regarde donc, on appelait ton siècle les lumières, regarde donc le résultat de vos valeurs! Un troupeau de sauterelles carnivores, c'est tout ce que tu nous laisses comme héritage! ça et absolument rien d'autre! merci d'être venu ce soir, va te recoucher maintenant, on sait que cela partait d'une bonne intention. S'il te plait, Voltaire, va te recoucher, il est inutile d'essayer de m'expliquer que tu ignorais que l'intention est le pavage de l'enfer, un autre peut-être mais pas toi; allez, dégage maintenant, on t'a assez vu ce soir!

Commentaires

Neuf à la deuxième place signifie :
Pénétrer sous le lit.
On a besoin de prêtres et de magiciens en grand nombre.
Fortune. Pas de blâme.

Il arrive qu'on ait affaire à des ennemis cachés, à des influences insaisissables qui restent blotties dans les angles les plus obscurs et, de là, exercent un effet de suggestion sur les êtres. Dans de tels cas. il est nécessaire de poursuivre ces éléments jusque dans les recoins les plus secrets pour établir de quelles influences il s'agit - c'est le rôle les prêtres - et pour les écarter - c'est le rôle des magiciens. En raison précisément de leur caractère anonyme, ces menées requièrent une énergie particulièrement inlassable qui pourtant trouve sa récompense. Car une fois que de telles influences incontrôlables ont été mises en lumière et stigmatisées, elles perdent leur pouvoir sur les hommes.

Écrit par : Danielle 57 | lundi, 08 mai 2006

test

Écrit par : yasmina | lundi, 08 mai 2006

ça marche!!! youpiii!!

Écrit par : gmc | lundi, 08 mai 2006

gmc, je voulais absolument laisser trace car te "prouver" que je te lis (je sais que tu n'en as que faire:-), mais aussi pour te demander si c'est normal que je ne comprenne rien ??
Ta réflexion poétique est si difficile à comprendre pour mon esprit si simple, pourtant, malgré cela, je dois te dire que j'aime te lire, car tu bouscules, et je suis tout heureuse quand de temps en temps, je saisis une nuance.
Voili voilou, contente d'avoir enfin pu entrer chez toi.
Yasmina

Écrit par : yasmina | mardi, 09 mai 2006

Une fois le pont levé, la Forteresse éblouissante n'a plus de portes, plus que des meurtrières...
http://www.brunette.brucity.be/atelped/histoire/beersel/archeres.html
http://gfunk.hubmind.net/_images/_2004/_2004_09_17/carcassonne.jpg

Écrit par : chemin de ronde | mardi, 09 mai 2006

yasmina,
tant mieux, ne cherche pas à comprendre, laisse les mots faire leur chemin tout seul.

Écrit par : gmc | mardi, 09 mai 2006

Quand après le pont-levis, les hautes-verrières, la dernière meurtrière se trouva condamnée, que toute la lumière s'échappa d'un coup du château , son coeur se surprit alors à être, comme la nuit, tranquille . L'heure jamais devancée de la fin du si long amour sonnait au beffroi, sonnait la promesse d'un matin, où lui, encore vivant irait, s'accroissant .

Écrit par : . | jeudi, 11 mai 2006

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