Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 08 juin 2006

QUI SUIS-JE?

Je est un autre et moi est un mort.

Commentaires

La main qui écrit est celle d'un mort ? d'une drôle de mort impossible à mourir ?

Écrit par : . | vendredi, 09 juin 2006

au vu de la structure du langage, on peut résumer cela ainsi (si tant est que les valeurs accordées à ces termes soient en phase) mais les processus suivent leur cours.
gmc t'a aperçu, l'ami, va plus loin dans l'abandon et le subjectif; tu disposes du savoir mais ta lecture des intentions est encore floue.

Écrit par : gmc | vendredi, 09 juin 2006

Pour le cours des processus, un efforcement sans relâche .

Écrit par : . | vendredi, 09 juin 2006

un abandon sans relâche plutôt, pas d'effort, seulement de la vigilance

Écrit par : gmc | vendredi, 09 juin 2006

une tension sans relâche plutôt . Il n'y a d'abandon que de la vieille rive . Seulement la vigilance , oui .

Écrit par : . | vendredi, 09 juin 2006

ça revient au même, plus l'abandon est effectif, plus la tension trouve l'espace nécessaire à son expression.

Écrit par : gmc | vendredi, 09 juin 2006

ok

Écrit par : . | vendredi, 09 juin 2006

alors on fait de la censure maintenant ?

Écrit par : tiravue | vendredi, 09 juin 2006

Pour un Jeu nouveau, le Moi se perd dans la douceur glacée de la nuit lumineuse, la nuit qui le sépare, la nuit qui le relie.

Écrit par : délie | samedi, 10 juin 2006

Un menteur...

Écrit par : Pessah | jeudi, 23 novembre 2006

un menteur..... certainement, dès lors qu'il utilise le langage.
mais dis voir, l'ami....quand? où? par qui?

par un détenteur de la vérité?

Écrit par : gmc | jeudi, 23 novembre 2006

Puisque celui qui s'exprime prend la place d'un autre, quand il veut...
Si je est un autre il n'est pas, il est ce moi qui s'ignore...
Si moi est mort je est lui-même quelque soit le lieu...pas un autre...
Quand je est un autre moi est bien vivant et ne se lasse pas de le dire...donc...je n'a pas droit de l'ouvrir
Mais je suis d'accord sur ceci...Je doit s'occuper de moi...
Un détenteur de la vérité n'éprouve nul besoin de s'exprimer à ce sujet...
En l'occurence vous / tu êtes (es) peut-être je et/ou il par intermitance et par intermitance ce moi qui n'est pas encore mort...
Un Extra-Terrestre au mieux...

Écrit par : Pessah | jeudi, 23 novembre 2006

il y a plusieurs manières d'appréhender le "je"; en l'occurence, la citation rebondit sur le "je" dont parle Rimbaud, qu'on peut aussi appeler le Féminin du monde ou la Mère de tous les phénomènes.
d'autre part, qu'est-ce que "moi": une image créée par le processus mental.

Écrit par : gmc | jeudi, 23 novembre 2006

Expliques-moi les regles de ton je nous nous comprendrons...
Pas une image, une réalité holographique dimensionnée ayant sa raison d'être...

"Pourquoi je m'interresse à toi Femme ? Parcequ'on ne connait vraiment un Homme tant qu'on en sait que la moitié..."

Écrit par : Pessah | jeudi, 23 novembre 2006

deux principes, appelés par convention Masculin (contemplatif) et Féminin (actif) régissent le monde phénoménal, visible ou invisible:
- ce qui est "Je" ressort du Masculin et donc n'agit pas, ce qui éclaire cette éminente remarque "la véritable action est non-action, le reste n'est qu'agitation"

est-ce plus clair?

Écrit par : gmc | jeudi, 23 novembre 2006

J'ai lu cela quelquepart...Mais Oui, merci...

Et si je te suis bien le "principe feminin" ici est à l'oeuvre...

Remarques, j'ai p't'être perdu un truc là...

Salut

Écrit par : Pessah | vendredi, 24 novembre 2006

si tu exprimais de quel point de vue tu parles, gmc pourrait éventuellement te répondre...mais il n'est pas persuadé que tu aies envie de le faire, va savoir...

Écrit par : gmc | vendredi, 24 novembre 2006

L'envie n'est pas vraiment mon moteur...c'est interressant !
D'un point de vue téléscopique...non c'est pour rire...
Tous les points de vues possibles, toutes les approches...
Par exemple : si je dis : je les lui brise, il dira soit je suis un pricipe féminin et fera objection, soit c'est un prété pour un rendu, soit voilà qui a l'accent de la vérité...point de vue hièroglyphique..Mais je ou nous ne le disons pas de peur qu'il imagine ici un éventuel point de vue humoristique ... va savoir...
Qu'est-ce qui fït donc qu'il éprouva le besoin ou non d'être persuadé ou pas ?
Répondrais-tu à ton tour et me dirais-tu le poids ou la légereté de ce mot écrit entre virgule et points de suspension ?

Écrit par : Pessah | samedi, 25 novembre 2006

gmc a déjà répondu à ta question au gré d'un sourire.

et c'est quoi, ton moteur, beau prince?

Écrit par : gmc | samedi, 25 novembre 2006

Bon, bien obligé de répondre là, ton sourire à disparu...

Le metteur en scène
Ieshoua
Une certaine forme de respiration
Ce que je touve beau
Le Vent
Le Rythme
L'aimant
L'équilibre
L'indiscible
Tu en connais d'autres

Des nuances diffuses précisèment
des arguments fossiles
Ton odeur
Ton sourire
Un vieil écot
Le versé vrai
Ta complicitè
Ce qui est caché
Les Minotaures
Quelques mots encore
Le rire des enfants
Un gros matou calin
Cet ailleurs d'où tu réponds
d'où tu répands ces effluves puissants de cesalpiniacée...

Shams de Tabriz...quelle belle idée !!
Mais dis-moi, comment les nuages parleraient-ils à Paris...

Radesh Tzimbas

Écrit par : Pessah | mardi, 28 novembre 2006

Mais nous pensons que je aurais tout aussi bien pu dire l'autre, il elle et moi je...

Ps : vu que tu claques du "beau prince " à tout va, évites s'il te plait avec moi, je n'en comprends pas le sens...merci !!

Écrit par : Pessah | mercredi, 29 novembre 2006

Les commentaires sont fermés.