En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Alive and dangerous australian rules Autre silence aux mains d'or bleu indigo certains jours charlie illuminations international poetry month 2012 Jalel El Gharbi jisca L'Armée Noire le coeur de ptah Madame Edith pessoa et autres magellaneries pierre poésie maintenant Réévolution séville solko sounya spirale de bois vivant train de nuit| D | L | M | M | J | V | S |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 1 | 2 | |||||
| 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 |
| 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 |
| 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 |
| 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 |
Dans l'épure des mots
Les cils s'oblitèrent
Rune après rune
Sous le carmin des paupières
Les lèvres se raffinent
Et prononcent des sons ignorés
Par les mémoires fugaces
Sans trouver de rivage
Juste les pages vierges
Où s'allonge le vent
09:33 | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
MOMIE
I
Mots fleur de sel à coeur ouvert, intuition de la lumière, vol plané du regard, marais salant vu du ciel, cristaux pulvérisés, miroirs réflecteurs sous la caresse du soleil, scialytique traversant la matière la plus opaque, pure clarté, banc de silence, "if you believe in the light, it's because of obscurity".
...
MCT - PHILAE, à Paul MARANDON, Sculpteur
Écrit par : Marie-Christine TOUCHEMOULIN | mercredi, 08 avril 2009
les voix de la transparence
en plein silence
le regard erre
courbe après courbe
sous le vers univers
la vision s’affermit
et invente des tons parfumés
à bannir les masques
sans chercher le parfait
juste l’érogène du coeur
d’où s’envole la caresse
Écrit par : @ude | mercredi, 08 avril 2009
RENAISSANCE
II
Entre ciel et terre
Atlantes et cariatides
Lumière et oeuvre
Dans l'enceinte du sacré
L'homme résiste
Une muraille s'effrite
L'écran se liquéfie
La sculpture rutile
Sur nos ténèbres
La poésie étincelle
Sur la sculpture
Nous lacérons un sépulcre
Une lueur nacre l'estafilade
La chaleur de ce lien
Unit nos intimes blessures
Solitudes parallèles
Mises en apposition
Nos visages s'ouvrent
Dans les reflets sensibles
Des remous invisibles
PHILAE
Écrit par : Marie-Christine TOUCHEMOULIN | mercredi, 08 avril 2009
Parce qu'un poète ne sera jamais qu'un oiseau qui chante alentour lorsque le monde reste sans voie d'accès par extinction de voix...
Voilà c'que c'est, mon vieux Joseph que d'avoir su oser ta musique baroque... "vif vent" comme certain affirme judicieusement, comme pour te prolonger lorsque j'exprime un son désespéré qui émane encore de toi en vivance sur ma gamme... sur la portée de Gilles-Marie...
Écrit par : Marie-Christine TOUCHEMOULIN | jeudi, 09 avril 2009
Les commentaires sont fermés.