jeudi, 09 avril 2009
ASILE DE NUIT
Assis sur la mer
Sous laquelle roulent
Les métros de faïence au plasma
Le lotus tranche la neige
L'oeil aiguisé comme un rasoir
Dessinant des rails de coke
Sur le plexiglas de vent
Qui caresse le son
D'un cil nonchalant
A l'arôme écru
21:29 | Lien permanent | Commentaires (9)
Commentaires
j'ai une question a te posé...Commrnt on pardonne a sa famille d'avoir mis un de ses membres a la rue???
oui,bon,mon psy est en vacances
Écrit par : Charles | jeudi, 09 avril 2009
@ Charles : bien sûr le poète va vous répondre. Cela étant, si on l'avait écouté, le poète, on n'en serait pas là.
Écrit par : Chr. Borhen | vendredi, 10 avril 2009
HISTOIRE DE DIRE N'IMPORTE QUOI
Pas de pardon
Dans le sourire
Qui éteint la colère
Les champs sont en friche
Quand ils reposent en paix
Le scénario est imaginaire
Ainsi va le vent
Dans ses multiples atours
De plage en plage
En balayant la cour
En se racontant des fables
Histoire de pimenter
Les zestes d'existence
Qui peuplent la nuit
Où tous les chas sont gris
Écrit par : gmc | vendredi, 10 avril 2009
bbah l'es lu l'ai entendu mais bon....C'est juste la flemme de resté a rien faire mais bon.merci de votre reponse
Écrit par : Charles | vendredi, 10 avril 2009
Because of your verse, I was inspired to write this about someone from long ago. Merci Gilles.
PAST PONDERING
You’re a sore spot to me
The bruise on a rosy apple
Threatening to rot the barrel
Spread the blight
You’re a puzzle to me
A never ending struggle
To divine the mystery
Your murky history
You’re a lesson to me
School house bully teacher
Resource rich in misery
A tarnished golden rule
You’re history to me
A dusty trail behind
You’re looming figured diminished
At the vanishing point of pain
Écrit par : Val | vendredi, 10 avril 2009
J'ai crié
Quand l'oiseau meurt
Au pied du calvaire
Un coquelicot
Fleurit sous la pierre
Le granit est rose
J'ai prié
Sur les rochers
En regardant l'amer
La stridence des mouettes
Dispersait les échos
Dune
Caresse défaite
La vie n'est plus
En existence
L'oubli
Intra-muros
MCT - FLEUR DE SEL
Écrit par : Marie-Christine TOUCHEMOULIN | vendredi, 10 avril 2009
Autrement dit, quelque page plus avant au sein de ce recueil que j'ai intitulé : FLEUR DE SEL...
Les hommes du manoir
Traversent la dune à cheval
Fièrement tête en l'air
Sans regarder
Ils sabotent un château
Mine de rien
Les petits du pêcheur
Sans simagrée
Fortifieront leurs rêves
Avec un seau de larmes
Une pelletée de sable
Écrit par : Marie-Christine TOUCHEMOULIN | vendredi, 10 avril 2009
Au bord
avec toi.
Écrit par : alistrid | vendredi, 10 avril 2009
Et si le vendredi saint faisait du sens à travers la poésie qui nous cerne, nous jouxte jusqu'au point de nous allier à défaut de pouvoir nous relier ?
Après l'avoir perdue moult fois en vivant intensément alentour, je retrouverais "la foi " en passant au travers de l'hiver", comme on dit au Québec... Mais pour venir nous troubler, "il y aura toujours du vent sur le Saint Laurent"... comme l'affirme judicieusement Desjardins...
Le calvaire intervient-il pour disperser nos échos jusqu'au point de les confondre pour les fondre ?
Bien à vous tous au hasard de nos chemins respectifs...
"Je" "Nous" aime... infiniment !
mct..
Écrit par : Marie-Christine TOUVHEMOULIN | vendredi, 10 avril 2009
Les commentaires sont fermés.