jeudi, 10 septembre 2009
DU CORAIL COMME S'IL EN PLEUVAIT
Les mots jamais ne s'épuisent
Sans dire un mot une pensée
S'épanouit en jonquille
Le temps d'une valse
L'ordinaire des mots
Est un parfum de contrebande
Où les tricheurs sourient
D'une déclaration
De la mine d'argent
Jaillissnt des pépites d'océan
Perles ou nuages d'escampette
Qui font parler toutes les poudres
00:56 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
J'ai enfin trouvé la faute de frappe à "jaillissnt".
5 mois que je la cherche.
Je quitte content une larme d'escampette jouissant de ce vide.
Écrit par : pseudonymes1 | jeudi, 10 septembre 2009
gracias
Écrit par : gmc | jeudi, 10 septembre 2009
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